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Silence.

Ce silence si pur si profond, glace mes veines de solitude.
Dehors, la pluie tombe en cette sombre journée de Novembre.
La tendresse de tes baisés, ne sont plus qu’amertume dans les dédales de mes pensées.
Ton sourire qui habité mes songe semble s’estomper, longtemps je t’avais cru mienne.
 
Comment ai-je pu croire une seul instant que le temps aurai pus nous rapprocher.
La chaleur de tes mains que je me plaisais a imaginer sur mon corps n’est plus que poussières.
Assombris par le rêve que tu aurais pu être a mes côté, hante a présent mon esprit.
Croire en l’espérance de te retrouver un jour me semble si futile, tellement impensable.
 
Comment ai-je pu être aussi bête que de croire à une seconde chance.
Il était évident que la douleur de nos histoires finirait par nous détourner de nos chemins.
Pourtant une petite étincelle dans les sombres nuits que je passe sous ma pauvre couverture.
Scintille à l’horizon, est-ce simplement une hallucination ou est-ce bel et bien encore un faible espoir ?
 
En attendant je reste enfermé dans mes sombres textes, reflétant mes états d’âmes.
Si sombres mais tellement apaisant pour mon pauvre cœur affaiblie…
 
© Faël Céréwïn.

P.S: A ma princesse, prend soins de toi...



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