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 Jeu de main, jeu de vilain ?

 

pourtant si habiles parfois.

 

La caresse de ses dernières provoquent chez certaines personnes des sensations bien plus exquises que celui du baisé.

 

Surtout quand elles entament un ballet doux et sensuel.

 

d'abord elles se contentent d'explorer par dessus le chemisier. Elles dessinent les formes qu'elles arrivent à deviner.

 

Ensuite elles descendent lentement et remontent encore plus doucement.

 

Celle qui ressent la petite chaleur que ses dernières laissent échapper ne reste guère indifférente.

 

Alors les mains encore plus curieuses osent déboutonner le premier bouton.

 

Puis le second, timidement.

 

Vien le troisième, moins sage.

 

Et si la victime de ces mains ne dit rien alors ces dernières coquines s'aventurent à déboutonner le quatrième bouton et pousse même  jusqu'au dernier bouton.

 

Si la délicieuse victime ose fermer ses yeux alors elle s'expose au danger des malicieuses mains qui délicatement font glisser le chemisier jusqu'à l’extraire.

 

Mais les vilaines n'en restent pas là, non non non, bien au contraire, elles entament une incroyable danse et vont jusqu'à seulement effleurer l'œuvre d'art par ses tendres doigts.

 

Ces dernier caresses doucement le cou puis descendent,... et descendent,... et descendent encore jusqu'à remonter les collines afin de contempler le magnifique paysage qui s'offre à eux.

 

Mais les égoïstes ne sont jamais bien loin et bientôt de tout leurs poids elles caressent les rondeurs de ses collines incendiés, avant de s'aventurer sur le ventre.

 

Alors la victime n'a plus le choix et la voilà qui lâche les premiers gémissements timides.

 

Mais les mains sont très malines alors elles parcourent le corps incandescent et descendent... Descendent... Et descendent à nouveau jusqu'à la ceinture.

 

Les vilaines effrontés osent retirer cette dernière et laisse glisser le pantalon le long des hanches voluptueuses avant de disparaître aux pieds du paradis.

 

Mais les jeunes intrépides n'ont pas dit leur dernier mot, elles remontent tendrement et laissent leur copine, la bouche osé caresser de ses lèvres douces les dessins de la victime.

 

Les ignobles mains remontent jusqu'au buste et délicatement dégrafe le premier vêtement interdit.

 

La victime n'ose plus répondre et se laisse abandonner au plaisir sensuel que procure cette incroyable sensation.

 

Mais les mains sont aussi très méchantes et alors qu'elles sont à la frontière de la taille elles se retirent après avoir poussés la victime dans le tendre lit qui se trouve derrière elle.

 

Puis la victime ouvre enfin ses yeux et s'aperçois que les mains qui ont osés toucher son corps enflammé, ont à présent disparut dans l'obscurité de la nuit. Alors elle se demande "était-ce les miennes?..."

 

En feu et à bout de souffle, le mystère entier, elle digère son incroyable frustration!

R.Céréwïn

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