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Je m’appel Céréwïn Spardy, j’ai 25 ans, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin…

Après m’être habillé avec une tenue classe, veste noire sur chemise blanche, jeans noir.

Je sautai dans ma voiture et alla chez Marcy la fleuriste du coin. J’y achetai un somptueux bouquet de roses rouges et pris le chemin du château.

Je ne pouvais plus faire marche arrière, mon choix était fait, j’espéré simplement que se ne soit pas douloureux et que Ludyä accepte de me transformer.

Je pénétrai le parc, la grille était ouverte comme si on attendait quelqu’un, le soleil commençait à ce décliné, et les premières étoiles furent leurs apparitions.

Je tapai à la porte, Trévor m’ouvris il ne fut guère surpris, décidément je commençais à me demandé si on ne m’attendait pas ?

-         -  Bonsoir Monsieur Céréwïn, La comtesse à sentit votre arrivé, je vous conduis auprès d’elle ?

-         - Oui Trévor s’il vous plaît.

Je pris les escaliers de la veille, les chandeliers qui éclairé la pièce était tous allumée et éclairé d’une romantique lumière. J’entendis Ludyä jouer de sont piano, c’était fait, je ne pouvais pas revenir en arrière. Mon cœur s’accéléra et je fus pris de frisson glacé, j’allais voir un vampire et j’allais mourir.

Mais en même temps j’étais impatiens de retrouver celle pour qui mon cœur battait encore.

-        -   Céréwïn, pourquoi est-tu venu ? Je t’avais dit de…

-        -   Ludyä s’il te plait écoute-moi, je t’aime, et rien ni personne ne pourrai y changer quelque chose, il n’y as que dans tes bras que je suis bien, ton parfum m’obsède et tes lèvres sont mielleuses. Ludyä, rien ne m’attend ici-bas, je ne manquerai a personne, alors s’il te plait Ludyä embrasse-moi et transforme-moi, pour que je puisse rester éternellement a tes côté…

Ludyä ne sus que dire, je perçu ses larmes qui m'avais fait  tant de mal la veille, une goutte glissa le long de sa joue.

-         -  Non s’il te plaît Ludyä, ne pleure pas, et approche-toi de moi, je n’ai pas peur de ce que tu es.

-         -  Mais Céréwïn je ne sais pas si…

J’approchai un doigt prés de mes lèvres et dans un chuchotis je l’interrompis.

-        -   Chuuut mon cœur, maintenant viens prés de moi, tiens ce bouquet de roses est pour toi, symbole de mon amour à ton égard.

Je perçu enfin un semblant de sourire et sont visage vain moins triste.

-         -  Céréwïn je t’aime…

Sur ses mots elle s’approcha de moi et déposa un sublime baisé qui me fit perdre la tête, ses lèvres était toujours aussi mielleuses, je ne pu la lâcher.

Nous nous dirigeâmes sur ce magnifique canapé et nous nous y jetons sans se lâcher.

Ma respiration était rapide la sienne également, nos cœur unis battaient a l’unissons, je ne savais pas qu’un vampire pouvait avoir un cœur et une respiration.

Elle se releva avec ce sourire qui laissé deviner le bonheur qu’elle éprouvé a cette instant.

-        -   Je ne savais pas que les vampires avait un cœur et respirer, ne sont-il pas mort ?

-       -    Bien-entendu mais les sentiments si fort que nous partageons font naître en moi un semblant de vie et du coup mon cœur bat et ma respirations apparaît, voilà si longtemps que ses derniers c’était éteint…

Sur ses mots, elle laissa glisser sa robe rouge, je découvris sont corps délicieusement beau, elle se rapprocha de moi et laissa glisser ma veste, je n’avais plus froid à présent. La chaleur qui émané de sont corps suffisait a me réchauffé tel un immense feu de forêt. Elle déboutonna ma chemise et pausa ses mains sur mon torse.

La chaleur de ses mains me produisaient un plaisir que je n’eu jamais éprouvé, la douceur de ses gestes descendirent à mon ceinturons.

Nous étions à présent nue, tout les deux, nos corps soudés à jamais. Nos rythmes lents étaient parfaitement synchronisés. Sa bouche descendit à mon cou, je sentis ses crocs me transpercer la veine jugulaire, je n’éprouvé nul douleur, juste un plaisir intense.

Mes yeux fermée me laissaient voir des images inexplicablement belles, et toujours la chaleur de nos corps embrasaient, me fit rentrer dans une extase totale.

A mon réveil nous étions tout les deux dans un immense lit, probablement celui de sa chambre. A travers les rideaux bordeaux je perçu les rayons de soleil, d’un pas je me levis. Un peu trop vite pour un être humain, je sentis mon corps si léger, semblable à une plume.
Je me retrouvai à la fenêtre en quelques centièmes de secondes. J’ouvris les rideaux, la lumière ne me fit rien, les légendes qui disaient que les vampires craignaient la lumière étaient donc totalement fausses.
Je profitai du soleil et d’un pas je me retournai. Elle était là, devant moi, toujours aussi belle, toujours aussi heureuse, au creux de mon oreille elle glissa :

-        -   Bonjour mon cœur, comment te sent-tu ?

-        -   Je me sens bien, heureux et comblé.

Dans un chuchotis elle me dit « je t’aime » puis elle appela Trévor.

-        -   Oui madame ?

-        -   Pouvez-vous faire monter notre petit déjeuné ?

-        -   Oui madame, avec grand plaisir.

Trévor disparut comme le jour où il m’avait portai cette lettre.

-        -   Ludyä est-ce que…

-        -   Trévor est un vampire oui. Il a la capacité de lire l’avenir.

-        -   Ceci explique beaucoup de choses.

En effet, je compris que Trévor avait tout deviné c’est pour cela qu’il m’avait dit « à bientôt » et surement pour cela qu’il savait que j’allais venir. Les vampires avaient la capacité de disparaître et de réapparaître ou bon leurs semblaient, j'avais lu ceci dans un de mes livres préférés Une question me vain a l’esprit.

-       -    Depuis combien de temps je me suis endormi, la seule chose que je me souvienne c’est cette magnifique soirée ou nos corps furent liés ?

-       -    Trois jours, c’est la durée normale d’une transformation.

-        -   Alors sa y est je suis mort ?

-         -  Oui mon cœur tu l’est. Mais nous somme ensemble pour l’éternité.

-         -  Oui, si tu savais combien je me sens bien, je suis heureux, je t’ai tant rêvé et à présent tu es à moi. Mais dis-moi l’autre fois tu m’as dit que cela faisait un moment que tu m’observais ?

-        -   Cela fait dix ans que je t’observe Céréwïn, dix ans que mon « cœur » si j’ose dire bat pour toi…

dix ans, je n'en cru pas mes oreilles comment avais-je pu attendre aussi longtemps?

Lorsque le déjeuné fût monté je sentis une odeur inconnu mais si délectable, je vis Trévor nous porter un plateau il y avait du pain, du beurre et un bol de sang.

Etrangement cette idée ne me révulsé pas, bien au contraire je pris le bol et l’avala d’un trait, ce goût était vraiment délicieux et je sentis mon estomac se remplir.

-         -  Mon cœur tu viens d’avaler du sang recomposé, nous nous nourrisson de trois bol de sang par jours, le reste du temps nous pouvons nous régaler de la nourriture humaine.

-        -   Ce potage était délicieux, j’avais vraiment très soif puis-je en avoir un autre ?

Ludyä étouffa un rire narquois, mais ses yeux était si beaux lorsqu’elle les plissé que je ne pu tenir compte de sa moquerie.

-       -    Tu en auras autant que tu veux mais attention a ne pas en abuser se serais de la gourmandise.

C’est ainsi que ma "vie" de vampire commença.

Nous somme heureux depuis plus de 150 ans, nous nous somme mariée il y a 100 ans et vivons toujours dans ce superbe château des fourbes…

Je m’appel Céréwïn Spardy, j’ai 25 ans éternellement, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin…

FIN.

Le château des fourbes, dernière partie.

R.Céréwïn

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"





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