en-tête
 

L’inconnue.


Alors que la jeune fille aux yeux noisette me fixer de son regard le plus intense, je m'approché à pas de velours vers son être, sans un mot mes mains empreint d'une force inexplicable vinrent dessiner les trais de son fin visage.

Avec une habilité tel que l'on emploi pour peindre un chef-d’œuvre, mes doigts dessinèrent les courbes délicate de sa tendre bouche, avant de remonter pour se réfugier dans les beaux cheveux de l'être inconnue.
Mes lèvres humides et douce s'approchèrent des sienne si près que je pu en sentir la chaleur de son souffle, elle voulu s'en approcher d'avantage mais je m'y refusé pour prolongé le plaisir si ardent qu'elle éprouver.
Elle ferma ses beaux yeux et c'est seulement a cet instant que mes lèvres se déposèrent sur les sienne, la première main encore fourré dans ses fins cheveux, la seconde l'enlaça près de mon corps si fort que mon souffle en était coupé.

Mon baisé sans fin se prolongé sans discontinuité, jamais de ma vie je n’avais éprouvé pareil désir. Etait-elle une succube incarné dans un corps humain pour me rendre a se point esclave de ses lèvres.

Dans la fougue de se baisé, elle en profita pour mordre ma lèvre supérieure et moi la sienne inférieur, ivre de se gout mielleux et délicat ma bouche descendit dans son cou tendis qu'elle en faisait de même.

Je senti sa mâchoire se refermer sur ma chair, je n'éprouvais nul douleur, et je rentré dans son jeu et planta la mienne dans son cou.

La chaleur qui émanée de son corps avait eu raison de mon esprit, je m'abandonné a elle, aussi ardent qu'un feu de cheminée.

Elle ne tarda pas a remonté jusqu'a mon oreille et en mordilla le bout, avant de me chuchoter "j'ai faim de toi" elle repris le mâchouillement si agréable me rendant fou de son corps esclave de sa chair et de sa bouche.
Bientôt nos respirations s'accéléraient, elles devinrent plus courtes et plus forte.

Ma main affamé de son corps la rapprocha encore plus fort, je lui décousu sa robe laissant découvrir l'éclat de son corps a mes yeux intensément amoureux.

Je descendis délicatement mes lèvres le long de son cou, jusqu'a atteindre la base de ses seins, si délicat. Ma langue entama un interminable dense doucement elle parcouru son sein droit jusqu'a la pointe.

La dame en était folle de désir. Sèchement elle arracha les boutons de ma chemise laissant apparaitre mon torse. "Prend-moi" me répété-elle incendié de plaisir.

Je la poussa contre les rideaux couleur bordeaux ornée de délicat dessins dorées, la demoiselle en était surprise, la puissance de cet élan l'avait rendu encore plus excitée.

De ses mains délicates elle détacha la ceinture qui retenait mon Jean couleur bleu-nuit, celui-ci glissa le long de mes jambes. "maintenant" me fit-elle d'un soupir ardent de désir.

Elle agrippa les rideaux d’une telle force qu'elle en fit tomber la barre qui le soutenait. De mes mouvements fluides et intense elle en agrippa a présent mon dos et y planta ses ongle fraichement limée, je n'éprouvai encore nul douleur, seulement se désir toujours croissant.

La dame a cheval sur mon corps entrepris d'accélérer le mouvement, aussi intense soit-il j'en poursuivi le rythme.

De la puissance des gestes je basculai sur le lit qui agrémenté cette somptueuse pièce, je n’avais pourtant nullement vue ce meuble. La demoiselle était sur mon corps a présent toujours folle de désir ses gémissements plus intenses j'entrepris de la retournée dans un geste brusque pour me retrouvé sur son corps contemplant ses seins pointu et si bien dessinée.

Elle me roula sur la droite, nous tombâmes du lit sur ce tapis si doux, elle en ria mais repris immédiatement son rythme soutenue.
Quelle nuit mémorable dans cette étrange demeure...

Faël Céréwïn.





Créer un site
Créer un site