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"Je me Nomme Céréwïn Spardy, j'ai 25 ans, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin..."

Nous nous somme assis à une table ronde, dans une salle très joliement décorée toujours dans les tons de l'époque 1400.

Sur la table se dressée une bougie que Trévor venez d'allumer, elle était tenu par un bougeoir en éteins, celui-ci représenté une main un peu gothique.

- Votre bougeoir et à la fois jolie et étrange.

- En effet c'est un cadeau de ma mère, j'ai toujours eu plus ou moins ce côté un peu sombre, oh j'éspère que je ne vous effraie pas?

- Non pas le moins du monde, je suis moi-même un peu ténébreux, j'aime beaucoup ce coté inquiétant et c'est pour cette raison que j'apprécie vraiment votre demeure.

- Mais dites-moi, arrêtez-moi si vous me trouvez déplacée, vous vivez seul? Vous n'avez pas de femme ou d'enfants? quel âge avez-vous sans indiscrétion bien entendue.

Je ne comprenez toujours pas pourquoi cette princesse s'intéressait-elle à ma personne, moi qui n'étais qu'un simple écrivain.

- Heu et bien non je n'ai pas eu la chance de rencontrer une femme. Par conséquence je n'est pas non plus d'enfants quand à votre troisième question j'ai 25 ans. Et vous?

- Cela ne se fait pas de demander son âge à une dame, c'est pour cela que je le tairais. En revenche,  je peut répondre a vos autres questions. Hélas non, je n'est pas eu la chance de rencontrer un mari et donc je n'ai guère d'enfants.

- En effet, quel impolitesse je fait preuve, veuillez excuser ma curiositée.

Un serveur nous amena notre entrée, il s'agissait d'une copieuse salade dans laquelle y était mélangé différente variétés, je me souviens d'y avoir vue un peu de frisée, quelques mâches, mais aussi une succulente laitue. Le tout accompagnés d'une sauce d'une très bonne qualité.

- Quel excellente salade, mes compliments à votre chef.

- Et bien merci pour lui, repondit-elle. Dites-moi, où trouvez-vous l'inspiration pour écrire vos somptueux textes? J'avoue n'avoir jamais connu une écriture aussi sincère que la votre.

Cela confirmé le fait que cette fastueuse comtesse lisait mes textes, je fût très étonné de cela.

- Disons que lorsque nous avons un coeur débordant de romantisme l'inspiration de ma plume m'est facile à tiré, il me suffit de plonger en moi et ma main glisse sur le papier aussi aisément que l'on marche.

- Vous êtes donc un romantique? Cela est très rare en ses jours, j'avoue que vos écris ne m'ont laissés guère indifférente.

- Je ne sait que vous répondre, ou seulement que votre talent n'a d'égale que votre beautée aussi vertueuse soit-elle, rétorquai-je.

Le serveur apporta le plat de résistance, il s'agissait d'un magret de canard accompagné d'haricots et de pomme de terre, je me souviens parfaitement de l'explosion des saveurs dans ma bouche, lorsque je plongeai un morceau de pomme de terre dans la sauce.

-Décidément vous avez trouvée une perle rare pour votre cuisine, ce magret  et tout simplement délectable, encore une fois je complimente votre chef.

- Il est vrai que je suis totalement conquise de ce cuisinier. Edmon à travaillé pour de grande personnalités tel que notre président mais aussi de grand chanteur de notre temps.

- Et bien sont CV et plus que mérité.

- Savez-vous pour quel raison je vous ai fait parvenir cette invitation?

- Non, j'avoue même en avoir était surpris, vous savez je ne suis qu'un simple écrivain.

- Un écrivain avec un immense talent,  j'avais hâte de vous rencontrer, mais je ne vous imaginé pas ainsi.

- Navré de vous décevoir, comment m'imaginiez-vous?

- Je n'est nullement dit que j'étais déçu, je vous imaginez plus âgé et moins beau.

- Je ne sait comment prendre ceci, un compliment peut-être? Je ne sait pas.

- Et bien ceci est un compliment des plus sincère, répondit-elle.

Le serveur nous porta le dessert cette fois-ci, il s'agissait d'une merveilleuse glace, je me souviens du goût de vanille mais aussi celui du miel.

- Laissez-moi deviner, votre dessert est délicieux? Demanda la comtésse.

- Effectivement il s'agit de mes parfums préférés, rétorquai-je enchanté.

- Quel drôle de coïncidence il s'agit également de mes parfums préférés.

Je plongeât mes yeux dans les siens, a cet instant je fus profondément touché, sont regard me fis perdre les peu de moyens qui me restés. Ces yeux noisettes étaient d'une magnificence inouï, je fut contrains de baisser les miens.

- Monsieur céréwïn? que vous arrive t-il?

- Rien de spécial, je me disait qu'il commencé a se faire tard, et qu'il étais temps pour moi de me retirer, si bien sûr vous me le permettez?

A ce moment là je vis son visage s'assombrir, elle sembla avoir était déçu par mes propos, mais je ne savais plus quoi faire, j'étais tombé simplement amoureux d'une comtesse, et cela m'étais interdit.

- Et bien si c'est votre souhait, je ne vous retiendrais pas, mais j'aimerais beaucoup vous revoir, pourquoi-pas Dimanche, accepteriez-vous de me revoir?

Je me retrouvai dans une situation quelque peu gênante, devrai-je la revoir et garder mes sentiments à son égard ou devrai-je ne plus la voir pour tenter de l'oublier?

- Monsieur Céréwïn? J'attend votre réponse?

- Je viendrais dimanche avec grand plaisir.

Voilà, je venais de faire mon choix, peut-être avais-je perdu la tête, mais une chose était sûr, elle avait pris en otage mon coeur, et ne s'en était pas aperçus.

- Merci beaucoups, à dimanche. Trévor va vous indiquer la sortie.

- Merci à vous pour ce superbe repas, et je vous souhaite une excellente nuit.

- De même.

J'eu beaucoup de mal a me retirer, je la fixai a nouveaux et elle me fixa également, je n'avais qu'une envie, l'embrasser comme j'en avait si souvent rêvé mais je n'en avait guère l'autorisation.

Je me contentai de lui prendre la main et de la remercier de la tête. Toute ma vie j'avais attendu, j'en avait pris des claques, sa oui! Toutes aussi douloureuses les unes que les autres.

Et voilà que cela recommencé, était-je peut être masochiste? J'avais pris des coups et j'en redemandé.

Je n'attendais qu'une chose, qu'une femme prenne sa main, et la dépose sur mon coeur usé, des coups qu'on lui avait donné...

Le Château des Fourbes troisième partie.

par © Faël Céréwïn

Suite de l'histoire par ici...

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