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Sauvagerie Infâme...
 

C'est avec une amerrîtes profonde 
Que je découvre le corps de ma bien-aimée.
Mes mains recouvertes de honte
Caresse sa chevelure nacrée.

Soudain je réalise que le meurtrier, 
Emporté par la frénésie de son sang.
N'est autre que mon être dissimulé, 
Tel un prédateur affamé de vivants.

Le goût de son cou me reste, 
Et mes dents acérées se rétractent.
Je me trouve seul face à ma peste, 
Incapable de me relever intactes.

Et alors que ma souffrance est entière, 
Des larmes de sang parcours mon visage.
Les blessures de mon cœur de pierre, 
Essuie une hémorragie de ravages...

R.céréwïn.

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"

 

 




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