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Il était une fois...

Un Garçon solitaire qui pourtant n'était pas si seul que sa. Il avait une famille qui l'aimaient, des amis sur qui il pouvait compter.

Mais hélas il lui manqué quelque chose, une chose qui paraitrai anodine aux yeux des autres, une chose qui semblerai totalement futile, mais tellement importante pour lui.

Cette chose qui, lorsque la nuit arrive, lorsque les étoiles apparaissent, lorsque les premières lueurs de la lune daigne se montrer, lorsque il essaye de fermer les yeux. S'abat sur lui tel un ouragan de mélancolie, cette chose le conduit parfois à lacher une petite larme qui court le long de ses joues.

Alors, pour tenté d'échapper à cette douleur, il étouffe se mal en écrasant un coussin sur sont torse. Mais ce n'est que de courte durée, aussi-tôt ce geste accomplies, la vague de souffrance revient tel un galop d'un cheval effrayé.

Parfois, il baisse sa garde et choisi de ce laissé emporter. Il attrape un CD de sont compositeur préféré, ces mélodies aux piano le transporte au travers de sa pauvre souffrance. Et alors il cède aux interminables attaques de cette solitude qui le grignote tel un horrible rat.

Puis lorsque enfin les lueurs du jour pointe leurs premier rayons, sa douleur se déguise. Il fait croire qu'il va bien, il fait même paraitre un sourire et parfois un éclat de rire qui semble sincère. Mais derrière cette armure on s'apperçois que sont rire aussi sincère qu'il puisse l'être, se cache une terrible solitude.

Il sait qu'il n'existe qu'un seul vaccin, il sait que seule un ange, sont ange, celui de ses rêves, celui de sa vie. Saura combattre cette sombre tristesse.

Et alors le sourire de cette être, qui illuminera son existence, le rendra si heureux que les guerres passé dans les tranchés de sont lit, serons enfin terminée. Et seulement à ce moment là, il pourra dépposer les armes de sont pathétique combat.

Puis quand viendra le jours ou il pourra conduire, sa joie de vivre, devant l'autel. Il aura complètement oublié les jours noirs de sa vie passé. Lorsque cette femme lui donnera les enfants de ses rêves, alors il ne sera plus seul mais deux et même peut-être trois, face au train de la vie...

R.Céréwïn

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