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Le train...

C'est dans ce train que je fit sa connaissance.

Il était appuyé contre la fenêtre prisonnier de ses pensées.
Il était seul, voilà que me surprenais le plus.

Mon numéro était le 458 juste à côté de son fauteuil. Je m'assis à côté de lui et prononça un bonjour enthousiasme.
Il me répondis poliment sous une moue morose. Je perçu quelques larmes qui caressaient ses joues. Je n'osa point parler, moi qui suis maladroit.

Il se retourna me regarda et me dit: "Où allez-vous?" Je lui répondus que je partait en voyage au prés des volcans.
Il fût surpris par mes propos puis me dit:
"Je peut venir avec vous?"
"Mais enfin, tu est tout seul?"
"Oui, je me rend dans un orphelinat car ma maman est partie avec mon papa au ciel..."

Abasourdis par cette affreuse nouvelle j'accepta sans réfléchir, je ne savais pourquoi, mais cet enfant aux yeux turquoises, abandonné par ses parents décédé. Me toucha au plus profond de mon coeur.

"chouette! Merci monsieur, je m'appel Tristan puis-je vous appeler papa?"

Voilà comment j'adopta mon fils qui me procura une immense joie et un grand bonheur moi qui n'avait eu guère la chance d'avoir mon propres enfants...

R.Céréwïn

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