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" Je m'appel Céréwïn Spardy, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin..."


 Je venais de faire le rêve que j’étais au château et que la comtesse m'embrassé. Quel stupide rêve comme si une femme comme elle serait attiré par un homme comme moi.

Je regardai mon réveil, il affiché 8h du matin, je n'ai pas pour habitude de me lever si tôt. Mais j'étais tellement impatiens de retourner au château, que je ne pu rester au lit.

D'un pas je me levis et me dirigea vers la salle de bain afin de me préparer en vue de cette journée.

Après trente bonnes minutes à me préparer je regardai par la fenêtre de mon studio, une belle journée s'annoncée.

Après les milles pas entre la musique de ma chaîne et la télévision, je vue midi afficher à la pendule de mon salon.
Je descendis à ma voiture et me dirigea vers le château, au fur et à mesure que j'approché du château le ciel s'assombrit, je fus déçu lorsque j’arrivai enfin aux grilles du parc sous un ciel très sombre.
Fort heureusement il ne pleuvait pas, du moins pas encore.

Les portes s’ouvrèrent et je me dirigeai vers le parking situé à quelques mètres. Je descendis de ma voiture et alla vers la porte d'entrée du château, je levai le poing afin de frapper à la porte mais celle-ci s'ouvris avant même que mon poing eu touché le bois.

Trévor m'accueillis d'un sourire remarquable.

- Bonjour monsieur Céréwïn, madame vous attend dans la salle de musique, si vous voulez bien me suivre.

Ainsi je suivis Trévor à travers le grand escalier qui monté à l'étage. Je me souviens encore des rampes qui ornées les marches. Elles étaient dorée et scintillé à la lumière des quelques rayonnement qui agrémenté se magnifique endroit.

C'est en arrivant au premier étage que je perçu enfin la somptueuse musique qui m'avait si bien transporté la veille, je ne languissais qu'une seul chose, pousser la porte et la regarder jouer de ce formidable instrument.

- Madame la comtesse votre invité vient d'arriver.

- Parfais, bonjours Monsieur Céréwïn, comment allé vous en cette belle journée?

- Très bien, et vous-même?

- Mieux à présent que vous êtes arrivé, avez-vous faim?

- Non pas pour le moment mais je vous en pris continué, j'aime beaucoup lorsque vous joué.

- très bien, veuillez vous asseoir sur le canapé là-bas, et fermé vos yeux s'il vous plaît.

J’exécutai aussitôt sa demande, je fus très surpris. En arrivant, le temps était triste, pourquoi parlé-elle d'une belle journée?
Puis pourquoi voulu-elle que je m'assoie et ferme mes yeux?


Mes questions restèrent sans réponses et je m’essayai sur ce très beau canapé, il avait un aspect de velours de couleur rouge, j'avais oublié a quel point cette pièce était jolie. Je fus charmé lorsque je vis un chandelier qui orné la queue du piano. Après cette contemplations, je fermas mes yeux comme elle l'avait souhaité.

Dès que mes yeux furent fermés, elle commença à jouer. Le son qui s'échappait de ce piano était vraiment sublime, j'en avais des frissons.

Puis soudain, lorsque la musique fût terminé. Madame la comtesse se tenait devant moi, plus belle que jamais.

- Levez-vous s'il vous plaît.

Ce que je fis sans discuter, je fut abasourdi quand soudain, la comtesse qui se tenait devant moi, s'approcha délicatement de mes lèvres et y déposa un somptueux baisé.

Mon songe avait il donc était prémonitoire ? Ou étais-je encore en train de rêver, Je n’en revenu pas.
Toute ma vie j'avais attendu se moment là, je me laissai transporté par la douceur de ses lèvres, elles avaient le goût de miel, comme celui du dessert de la veille. Puis brutalement elle se recula.

- Je suis désolée, je ne sais pas ce qui ma prise, je crois que... Non je ne peux pas, désolée excuse-moi Céréwïn mais je ne peux pas, ce n’est pas possible, je ne veux pas te faire de mal.

- Non ne t'excuse pas Ludyä, c'est moi qui m'excuse, d'ailleurs je vais m’en allé.

- Non je t'en pris ne pars pas, reste, j'ai besoin de toi.

Puis de nouveaux elle m'embrassa, je succomba a son baisé et dans un geste tendre je lui caressa les cheveux et la serra contre moi. Son parfum étais envoûtant, je n'arrivé plus à la lâcher. C'était tellement fort et j'avais attendu si longtemps, comment cela étais-il possible ? Qu’une comtesse aussi irrésistiblement belle puisse avoir des sentiments pour moi ?
Elle se recula à nouveaux.

- Non, faut que je m'arrête je risquerai de te blesser, excuse-moi encore.

Je vis une larme perler le long de ses joues, je ne supporte pas les larmes d'une femme, alors dans un geste tendre je lui essuya cette dernière, je ne comprenais pas pourquoi me répété-elle sans cesse "je vais te faire du mal" voulais-elle parlé de mon cœur?

- Ludyä, ne pleure pas je t'en supplie, je ne supporte pas voir une femme éplorée.

- Tu ne comprend-pas, je ne peux pas aller plus loin avec toi, je n'ai pas le droit, je ne veux pas te faire du mal, Céréwïn sa fait des années que je t'observe, tu es pour moi une obsession, une fascination même. Mais je dois me ressaisir je n'ai pas le droit de te faire sa, pas à toi.

- Mais de quoi parles-tu? Explique-moi?

- Pas maintenant pas comme sa, puis tu risquerais d'avoir peur, demain. Reviens demain, il me faut réfléchir à tout ceci.

- Quoi?! Non m'éloigner de toi m'est un supplice.

- Tu n'imagine pas a quel point je suis attiré par toi, pour moi aussi, vivre loin de toi m'est une torture. Mais je dois réfléchir, je t'aime Céréwïn mais je ne peux pas encore te dire mon secret. Demain, reviens demain je t'en prie.

- Mais pourquoi pas maintenant? 

- C'est une longue histoire, va t-en car je n'ai même plus la force de rester prés de toi, la tentation est trop grande, reviens demain, ne m'oublie pas.

-  Jamais, je ne pourrais t'oublier

Je la voyais qu'elle pleuré, sa m'était insupportable, je voulais la réconforter, je voulais lui sécher les larmes qui  remplissaient ses petit yeux noisette. Je voulais simplement la protéger, mais elle me répété inlassablement de m'éloigner d'elle, elle me disait que la meilleur façon pour elle de ne plus pleurer était que je m'en aille...

Le château des Fourbes Partie 4

R.Céréwïn.

 Suite de l'histoire par ici...

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