en-tête
 

En attendant…
 
C’est au fond de mon lit que je suis désarmé,
Quand on sait le mal que peut faire cette solitude redoutée,
C’est au fond de la nuit que je subis ma faiblesse.
Quand ont sait le mal mesquins renforçant la tristesse.
 
En attendant… Tu me manque.
 
Ses pensées noires me font déprimer,
Quand ont sait le temps que je passe à te chercher,
Ses gouttes d’eau montent aux yeux, si innocentes.
Quand ont sait le temps qui reste à dévaler cette pente.
 
En attendant… Tu me manque.
 
C’est cette douleur de ne pas t’avoir dans mes bras,
Quand ont connait la faiblesse de notre cœur sous son apparat,
C’est cette douleur de ne pas sentir ton parfum.
Quand ont connait la faiblesse de notre corps quand ont le feint.
 
En attendant… Tu me manque.
 
C’est cet air glacial qui parcourt mon âme,
Toi qui construis cet amalgame,
C’est cet air glacial qui me rappel à toi.
Toi qui détruis tout ce qui fait moi.
 
En attendant… Tu me manque terriblement.
 
© Faël Céréwïn



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