en-tête
 
 

Je m'appel Céréwïn Spardy, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin.

J'avais passé la nuit à penser, à réfléchir, pourquoi tant de mystère autour de Ludyä, pourquoi ne faisait-elle que de me répéter "je ne veux pas te faire du mal."Je tourné et retourné dans mon lit froid, un peu de musique pour tenter de fermer les yeux et de dormir un peu, mais rien y faisait.

Lorsque je vu enfin les premières lueurs du soleil je me levai, je n’avais point dormi de toute la nuit, j’avais une mine affreuse, je me débarbouillai la figure pour tenter de gommait ses horrible cernes.

Après ce soin j’entendis taper à ma porte.

-          Monsieur Céréwïn c’est Trévor je vous apporte une lettre de la comtesse.

-          Oui j’arrive deux minutes.

Trévor devant ma porte ? Comment est-ce possible ? Je n’avais communiqué aucune adresse, soudain après réflexions je réalisai que de toute manière ils connaissaient mon adresse puisque qu’il m’avait expédié l’invitation de Samedi.

-          Bonjour Trévor, comment allez-vous ?

-          Très bien merci monsieur, voici la lettre en question, je vous laisse à bientôt…

Le temps que j’avais regardé cette enveloppe semblable à l’enveloppe de l’invitation, Trévor eu disparût, je regardai à droite, puis à gauche mais je trouvai personne, comme si il c’était envolé.

Je refermai la porte d’entrée, attrapa le coupe papier qui se tenais droit sur mon bureau.

Je me rappelai de cette babiole que j’avais découverte en fouillant dans le brocanteur du coin, elle ressemblé à un poignard chinois, un dragon trôné au sommet du manche. A la lumière, les diamants qui y étaient incrusté brillaient de mille feux.

Après cette petite anecdote j’ouvris la lettre, une odeur s’en échappa, de la mure et du miel exactement le même parfum que porté la comtesse la veille.

« Cher Céréwïn,

Je crains de t’apporter une mauvaise nouvelle, en effet je n’ai pas pu fermer les yeux de la nuit, je pense à toi, encore et encore, tu n’imagine pas combien se baisé que tu m’as rendu m’as transporté, je t’aime Céréwïn, rien que d’écrire cette lettre ma main tremble à la seul imagination de ton visage.

Céréwïn, je ne sais pas par ou commencer, en effet j’ai du me rendre cette nuit dans un endroit au-delà de toute vie, j’y ai rencontré un grand maitre, celui-ci m’as expliqué que nos lois interdisaient l’amour que j’ai pour toi, car nous n’avions pas le droit de faire du mal aux humain.

En effet, vois-tu je vie depuis 110 ans, le grand maitre en question s’appel Draconian. Il est le maitre des vampires. Celui-ci me transforma en uns des leurs alors que j’étais en train de mourir de la peste. C’est ainsi que Draconian devin mon père adoptif.

Oui Céréwïn je suis un vampire et par conséquent notre amour est impossible, si tu savais combien je m’en veux de t’avoir embrassé, si tu savais combien je m’en veux de t’avoir déjà fait du mal à ton cœur. Mais hélas, je ne peux pas résisté à l’envie de te mordre, et si je te mords tu mourras ou bien je te transformerais en monstre sanguinaire.

Je t’ai écris que nous n’avion pas le droit de faire du mal au humains car, vois-tu nous autre nous refusons d’être semblable a ses monstres.

Pour évité de souffrir affreusement nous nous nourrissons de sang recomposé par des cellules souches, oui en effet le sang des animaux ne nous est pas de grande utilité et nous pousse souvent à sauté sur un humain. En effet lorsque nous buvons du sang chaud, nous somme pris de frénésie et nous ne pouvons guère nous arrêter.

Alors pour éviter de souffrir d’une façon horriblement abominable nous nous devons de créer du sang humain à partir de cellules que nous prenons régulièrement sur des candidats humain, en leurs disant que c’est pour la recherche. Nous n’avons pas non-plus le droit de divulguer notre existence car sinon nous pourrions crée une guerre mondialement civil. Nous somme pratiquement indestructible, ni le soleil, ni la lumière, ni même les crucifix ont un effet sur nous contrairement aux autres légendes qui existe sur nous autres.

Vois-tu a quel point nous somme monstrueux ?

Mes larmes coules en pensant à toi mais je n’ai guère le choix, Céréwïn oublie-moi je t’aime mais je t’en supplie ne cherche pas a revenir au château.

Adieu mon cœur, adieu ma joie, adieu mon sourire, je t’aime et t’aimerai éternellement mais je n’ai pas le droit de faire sa…

Comtesse Ludyä Bounitesse… »

Je fus littéralement abasourdi de lire ceci, jamais l’espace d’un instant je n’aurais pu imaginer ceci.

Mais je ne pouvais niée mes sentiments, à présent j’en étais sûr j’étais complètement fou d’elle, et elle m’aimait au moins autant que moi.

Je ne pouvais pas ignorer tout ceci, je ne pouvais pas l’oublier, je ne pouvais plus vivre sans elle à présent.

Ma vie sans elle m’était qu’un sombre tunnel sans aucune lueur d’espoir, mon seul refuge était l’écriture mais se remède ne soulagé en rien à mon intolérable solitude il ne faisait que reculer l’échéance de ma souffrance intérieur. Il y est des souffrances bien plus horribles que la souffrance physique, la douleur de mon âme était terrible. J’étais une personne qui avait besoin de donner, qui avait besoin d’aimer.

Je réfléchissais à tout sa, elle m’avait demandé de ne plus venir au château mais pourtant Trévor m’avait dit « à bientôt » d’ailleurs qui était ce « Trévor » un vampire lui aussi ?

Dans tout les cas une chose était sûre, ma vie sans elle m’était impossible. Je pris donc la décision de retourner au château, par conséquent je pris la décision de renoncer à ma vie, si elle pouvait survivre grâce au sang recomposé pourquoi pas moi ? Je pris donc la décision d’être moi-aussi un des leurs, mon choix était fait.

 Rien ne me retenais ici-bas, je pouvais continuer à écrire mais cette fois-ci je serais heureux enfin heureux…

Le château des fourbes 5éùe partie.

R.Céréwïn.

Suite de l'histoire...

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"




Créer un site
Créer un site