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Jeu de bandeau...

Alors que tu te trouve de dos, je m'approche délicatement de toi et glisse un bandeau qui viens couvrir tes yeux.

Ainsi mon jeu peut commencer, mes mains chaudes viennent se déposer au creux de ta nuque, mes doigts commencent leur interminable danse.

Ils partent de ton cou pour descendre lentement, délicatement le long de ton dos, puis mes doigts remontent en empruntant les courbes de tes hanches.

Puis de ta taille jusqu'à leur point de départs ils remontent doucement, seul un effleurement te confirme la présence de mes mains.

Ce geste si tendre, si doux te charge d'électricité que tu ne peut expliquer cela te fait frissonner, alors me plaisant dans ses gestes pour le moins sensuelles, je continu tout en glissant à ton oreille les mots "je t'aime, tu est si belle que je n'ose imaginé que tu m'appartiens"

La chaleur de mon souffle conduit ton coeur à battre si fort que tu en subis des ratées, ta respiration aussi sereine était-elle se met à accéléré alors que seul mes mains parcourt ton dos.

Jamais personne n'eu pu te rendre aussi inflammable que tu l'es à présent.

Ton bras ce saisis de ma tête obligeant mon visage à s'approcher du tien.

Mais, mes lèvres refusent de faire ce que tu attend d'eux, je suis plus fort que toi, alors tu subis une immense frustration qui fait naitre un sourire au coin de mes lèvres.

"S'il te plaît ne me fait pas sa, tu es méchant"  je te répond que oui je suis très méchant.

Puis mes bras se resserrent pour former une étreinte à la fois forte et tendre, un étrange paradoxe mais tellement sincère que tu t'y sent en sécurité.

Mais mes lèvres ne cèdent guère à tes supplications, tu ne peut plus jouer de ton regard pour m'atteindre, seul la frustration déjà béante ne cesse de s'agrandir.

Te voilà désarmé et désemparé, cette faiblesse renforce ton amour a mon égard, maintenant tu sait que sans tes armes tu est impuissante. 

Alors mon corps se rapproche du tien, tu peut en sentir cette chaleurs qui s'y dégage, tu n'est plus maitresse de ton corps à présent il est entièrement à moi, seul les mots "s'il te plaît mon coeur, embrasse-moi" peinent à sortir entre deux respirations.

Mais mes lèvres ne cèdent toujours pas, tu ne sait plus quoi faire, ni que dire. Ton désir de m'embrassé, de sentir la chaleurs de mes lèvres, de gouté au sucre de ma bouche est si violent que tu essaie de te retourner et d'enlevé ton bandeau.

Mais hélas tu oublie que mon étreinte est toujours fermé est que ma force semble insurmontable face à ton désir ardent de resté dans mes bras.

Je glissent un ultime mot "pas ce soir mon ange, soit patiente et bientôt tu goutera à mes lèvres"

Puis mon étreinte se désèrent délicatement, je m'éloigne de ton corps incandescent et dans un ultime "je t'aime" je disparaît dans la pénombre avant même que tu n'est eu le temps de retirer ton bandeau.

Te voilà incroyablement pathétique submergé par une vague de colère car ta frustrations n'est guère comblé...

 

R.Céréwïn.

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"




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