Domaine de faëlestrand III
J’ouvris la porte avec une telle ferveur que celle-ci vola en éclat !
- N’avez-vous donc rien compris ! Grondai-je alors que tout mon corps tremblait de haine et de violence.
- Pourquoi me refusez-vous ? Ne suis-je pas à votre goût ?
- Et vous jeune impertinente ! Pourquoi vous entêtez-vous à vous offrir a moi ?
- Mais simplement parce-que je vous aime !
- Vous m’aimez ? Je ne vous ai encore jamais rencontrez et vous osez prétendre que vous m’aimez ?
- Si ! Je vous ai déjà rencontrez, dans une autre vie, votre mémoire vous fait-elle défaut ?
- Je vie depuis près de deux-cent ans, je n’ai aucun souvenir de vous, de votre visage.
- Je n’avais guère le même profil à cette époque. J’étais belle, j’étais jeune j’étai a vous.
Il était certain que je n’avais jamais rencontré pareil beauté, pourtant sa façon d’être et son regard me troublé, elle prétendait m’avoir connu mais qui était-elle ?
- Qui êtes-vous alors ? Lui demandai-je avec incrédulité.
- Je me nomme Maëva de Tériombe, et j’eu toujours porté se nom. Me répondit-elle ses yeux brillant d’amour.
Maëva de Tériombe ! Comment étais-ce possible ? Je l’avais vue brulée alors qu’elle avait étais accusé de sorcellerie ! Mon être impuissant enchainé à un arbre, contrains d’assisté à cet infâme spectacle ! J’en avais terriblement souffert, des larmes de sang en avait coulée le long de mes joues.
Je fusse abasourdi d’apprendre la renaissance de ma bien aimée, elle était là devant moi éblouie par un éclat de ses yeux turquoise, son sourire supplice de mon cœur et son fabuleux visage empreins de tant d’innocence, une être fragile, une être délicate.
Comment avait-elle pu réapparaitre après tant d’année ? Comment avait-elle pu me pardonner alors que j’eu conservé tant de haine et tant de peine consumée par la violence du dégout de mon être.
Ma soif plus ardue que jamais je du me reculer pour ne point me jeter sur elle, je ne pouvais pas lui faire du mal, elle pénétra ma demeure referma la porte et s’offris à nouveau à moi…
Comte Faël Céréwïn.
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