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 "Je m'appel Céréwïn Spardy, j'ai 25 ans, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin..."

C'est par une soirée de Janvier que je fut invité à assister a un concert unique au monde, il s'agissait d'un spectacle étrange mêlant des symphonies électriques à du puissant son d'une immense orgue et une voix aussi sublime que puissante.

Ce spectacle fut donné dans le château des fourbes situé à 20 km de Maäléstrum. Je reçu un courrier dans une enveloppe noire, scellé par un sceaux digne d'un roi.

"Très chére Céréwïn vous êtes convié à assister au concert donné par la comtesse de Ludyä, un voyage à travers un monde imaginaire mené par une pianiste unique. Ce concert et totalement gratuit seul une tenue de soirée est exigé, elle ce déroulera le Samedi 29 Janvier dans l'enceinte du château des Fourbes. Nous comptons sur votre présence."

Je ne comprenais pas pourquoi avais-je reçu cette lettre, je ne connaissais aucunement cette comtesse de Ludyä.

Néanmoins de nature ouverte, je me suis présenté au château muni de mon invitation, le maître d'hôtel me conduisis dans une immense salle d'une architecture digne d'un châteaux du XIIIéme siécle, je m'assayai au premier rang, devant une immense rideau rouge bordeaux, je n'imaginais pas quel rencontre extra-ordinaire j'allais faire.

Ainsi les neufs coups de l'horloge, accrochée au dessus de la grande porte d'entrée, sonnèrent enfin. Les lumières tamisés s'éteignit j'eu à peine le temps de me retourner pour constater que je n'était pas le seul invité, il y avait peut-être une cinquantaine de personnes toute aussi étranges les unes que les autres.

Les premières notes de l'orgue sonnèrent, et le rideaux s'ouvra. Je fut ébahi par l'immensité de l'architecture que nous faisais part cette gigantesque oeuvre d'art. Comment une architecture aussi complexe avait pu être dressé au fond de cette salle? La musique était ensorcelante elle emplissait la salle d'une symphonie surréaliste.

Lorsque mes yeux descendirent sur la joueuse, je fût transporté par la beautée de cette femme, la tenue qu'elle portée était blanche, semblable à une robe de mariée, pourtant cette princesse était de dos. Je n'osé imaginer cette personne de face.

l'ouverture de ce spectacle était riche en couleur et en émotion. Seul l'orgue sonnée accompagnée parfois d'un morceau de guitare électrique plus que sublime, le guitariste porté une tenue noire surmontée d'une longue veste qui descendait jusque sur le sol, son maquillage déguisé sont regard presque inhumain.

Lorsque le second morceau fût entamé, la joueuse se leva, laissant place à une de ses suivantes. Hélas, cette dernière, n'avait pas la douceur des mains de la princesse.
Lorsque la chanteuse se retourna, je fût encore une fois subjugué par la beauté fulgurante de cette femme. Elle avait de long cheveux brun, surmonté d'une coiffure mêlant dorures et argentures. Ses yeux maquillés d'un trais noir, étaient de couleur noisette, sont visage était irréaliste. lorsqu'elle ouvrit ses lèvres pour nous adresser quelques mots sa voix me traversa littéralement, j'avoue en être tombé sous le charme.

Puis elle entama une belle chanson, sa voix magnifique me transporta au-delà de tout ce qui semblait être réel. le concert dura deux somptueuses heures, je n'était plus dans ce monde, j'était ailleurs, enfin lorsqu'elle termina sa dernière chanson, j'eu du mal à atterrir. Etais-je encore dans ce magnifique château? ou étais-je en train de rêver?

Le rideau se referma mais la dame qui était sans nulle doute cette mystérieuse comtesse, resta devant la scène et sous une pluie d'applaudissement elle m'adressa un regard banal avant de se retirer en me faisant un ultime sourire magnifique...

Le château des fourbes première partie

Par © Faël Céréwïn

Suite de l'histoire par ici...

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