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Jeu de rose...

Je te trouve étendue sur le lit, porte à tes lèvres un baisé 
avant de t'offrir se somptueux bouquets de roses.
Tu me fais un magnifique sourire et par l'intermédiaire de tes yeux 
tu me demande un second baisé.


Délicatement je m'approche de tes lèvres mais,
au lieu de t'embrasser, je m'empare de ton poigné droit.
Tu ne résiste guère car tu en devine l'utilité.
Avec un morceau de tissu je t'attache le poigné au dossier de notre lit,
puis je m'empare de ton second poigné, toujours sans résistance,
et l'accroche également au dossier.

Puis le jeu peut commencer, mes lèvres exquises se jette sur ta bouche,
et dans une ultime respiration mordille tes lèvres.
Puis délicatement je retire les boutons de ton bustier un à un avec mon tendre doigté.
Puis avec une douceur de velours je déboutonne ton Jean.

Te voilà attaché à notre lit en déshabillé sexy, 
tu avais préparé mes actes et tu t’es vêtu en conséquence.

Je m'empare d'une rose de ton bouquet et délicatement 
je caresse ton visage avec ses pétales.

Puis la douceur de mon geste accompagne cette rose au dessus de tes seins
encore cachés par ce déshabillé dont tu langui que je retire.

Ton regard empreins de désir ne tarde pas en m'en persuader,
ma main glisse dans ton dos et d'un geste rapide en dégrafe le tissu.
Fort bien étudié ce sous-vêtement se retire sans ce soucier de tes bras.

De l'autre main la rose continu son supplice délectable, les pétales en dessinent le contour de tes hanches avant de s'attaquer à l'ascension de tes dunes,
la rose ne tarde pas à atteindre sont sommet, et dans un ballet de finesse,
les pétales de la rose on un goût de velour, tu en perçois tes premiers gémissements.

Puis vain après la descente de ton ventre, tu peine à étouffer ton désir, et tu peste d'exaspération tes mains encore attachés.
Mais le jeu n'est point fini, je dépose la rose et par la force de mes dents j'en descend 
la fine lingerie qui décore tes cuisses.

Puis je reprends  l'arme fatale que représente pour toi cette magnifique rose, et d'un geste complaisant j'en dessine cette partie qui te rend ardente tel le charbon d'une cheminée.
Tes gémissements sont désormais des cris que tu peine encore plus à retenir, et alors que l'extase te semble atteinte j'en détache tes mains et éteint la lumière...

R.Céréwïn.

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 



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