en-tête
 

"Je m'appel Céréwïn Spardy, ma vie commença lorsque celle-ci pris fin..."

Je du attendre au moins cinq bonnes minutes avant de revenir sur terre, je pris ma veste noire, et me dirigeai vers la grande porte par laquelle j'étais venu quand le maître d'hôtel m'interrompis dans mon élans.

- Monsieur Céréwïn?

- Lui même!

- Madame la comtesse souhaiterait s'entretenir avec votre personne. Auriez-vous l'amabilité d'accéder à sa requête?

- Et bien serte, je vous suis.

Je me demandé bien qu'avais cette étrange comtesse à me demander, moi qui suis un simple visiteur?

De nature modeste je ne vie que de mon écriture j'eu vendu que quelques livres, peut-être avais-je affaire à une léctrice? 

Pourtant je n'avait nul sang royal pour avoir l'honneur de rencontrer une telle personne.

Le maître d'hôtel me conduisit dans un grand hall. Je me souviens encore du magnifique lustre qui éclairé les immenses portraits de cette salle. Une tendre odeur chatouillée mes narines, peut-être de l'encens? Les murs, d'un blanc étincelant, étaient si lumineux et si beau.
Il me semblai m'être perdu dans le temps, soudain en dirigeant mon regard sur une grande porte à deux battants, je perçu une douce mélodie, elle semblée être du piano. Combien j'aime cette instrument, mais hélas je n'eu guère la chance d'apprendre à y jouer.

Lorsque le maître d'hôtel eu poussé la porte je la vis, là, assise sur sont piano, en train de caresser les touches blanches et noires. Décidément cette femme avait un immense talent.

- Madame la comtesse, votre invité, comme vous l'aviez demandée.

- Très bien, merci Trévor, maintenant, veuillez quérir les cuisines nous dînerons dans vingts minutes.

- Comme vous le désirez.

Ainsi Trévor quitta la salle, et disparu derrière la grande porte que je venais de passer.
A ce moment là je me demandai de qui avait elle parlé en disant "nous", serais-ce monsieur le comte ou leurs enfants? Il ce faisait tard,  je vis onze heures indiqué sur la magnifique horloge qui se dressée au fond de la pièce, près d'une grande fenêtre. A quelques mètre se tenait également une magnifique plante verte dans l'angle. La salle était assez spacieuse et également très bien décorée et illuminée, un appartement digne d'une reine.

Soudain je fût littéralement ébahi lorsque mes yeux se posèrent sur le piano de la comtesse, c'était un piano à queue, d'un bois massif proche du chêne. Le piano était ouvert, tenu par une cale. En m'approchant de cette oeuvre d'art je fût passionnément impressionné par ses cordes, le son qui en résultait été d'une somptuosité extrême. Soudain je fût arraché à mes rêveries.

- Je savais que cela vous plairez très chère. Alors dite-moi, comment avez-vous trouvé mon spectacle?

Comment répondre en gardant mon assurance face à une telle beautée, pourtant il fallait que je trouve les mots, il fallait que je réagisse, c'était la comtesse Ludyä, je n'avait pas le droit de rester mué.

- Et bien,  excusez mon étourdissement,  je suis totalement stupéfié par votre talent, votre spectacle été tout simplement magique,  jamais de ma courte vie je n'eu vue de si magnifique représentation, es lieux sont si majestueux. Vraiment je suis impressionné par un spectacle d'une telle envergure.

- Ah, vous parlez du château, il est vraie que mon père m'eu fait cadeaux d'un superbe domaine.

- Il ne s'agit pas seulement du château, mais votre voix, votre doigté, en un mot votre talent hors du commun, et d'une somptuosité total, je pourrais vous écouter jouer de cette instrument éternellement.

Soudain la comtesse se mit à esclaffée de rire, mais sont rire était si beau, comment une dame d'une telle beautée puisse exister?

Je ne sus que répondre était-elle en train de se moquer de moi?

- Excusez-moi, ne vous inquiètez pas je ne suis pas sarcasme, simplement le mots que vous avez employé était amusant, peut-être est-ce nerveux? Je ne sait pas.

- Oh, ne vous excusez pas, d'ailleurs je ne voit pas ce qui puisse vous rendre nerveuse?

- C'est une très longue histoire très chére, maintenant me feriez-vous l'honneur de m'accompagner pour le dîner? Oh heu, j'éspère que vous avez faim?

Le dîner? C'était donc de nous qu'elle parlée lorsque elle avait demandée à Trévor de préparer le dîner, n'estait-elle donc pas mariée? Cela me semble impossible, ou alors, peut-être estait-elle veuve?

- Mr Céréwïn? Vous êtes toujours là?

- Oui, pardonnez mon silence, je m'étais égaré dans mes pensées, et bien ce serais un grand honneur.

Ainsi nous nous dirigeâmes vers la salle à mangé. Je ne comprenais pas pourquoi un tel attrait à mon égard, il y avait un tas de mystère autour de cette comtesse, qu'avait-elle voulu dire par "c'est une longue histoire" j'avoue même trouver ceci étrange...

Le château des Fourbes deuxième partie.

Par © Faël Céréwïn.

Suite de l'histoire par ici...

"Copyright ©2010 R.Céréwïn. Tous droits réservés R.Céréwïn. Aucune reproduction, même partielle, ne peut être faite de ce texte sans l'autorisation personnel de R.Céréwïn"




Créer un site
Créer un site