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Mon Fils...

Mon fils, voilà bientôt 8 ans que tu est venu au monde, jamais je n'aurais cru à quel point l'on pouvait aimé une si petite chose.

j'avais si peur, je ne savais pas comment j'allais faire, j'avais si peur de te faire du mal, de mal m'y prendre, ô combien j'ai eu si peur de t'aimé.

Puis derrière mes barricade de père qui ne montre pas forcément aussi facilement sont amour, je t'est aimé, sa oui je t'aime.

Mon fils, je t'est donné le prénom de Mattéo, il te va si bien...

Jamais je n'oublierai le premier sourire que tu m'a fait lorsque tu me regarda avec tes yeux d'enfant innocent remplis de tendresse et de joie.

Ou la première fois que je suis revenu de vacance, je t'avais tellement manqué que quand tu m'as aperçus tu t'est littéralement jeté dans mes bras.

Je n'est pas supporté tes premières larmes lorsque maladroit comme tu l'était tu était tombé par terre, des larmes vite essuyé lorsque j'ai déposé un bisous sur ta petite jambe.

Je n'oublierai jamais la première fois ou tu m'as dit je t'aime papa.

Alors aujourd'hui je te le dit mon fils je t'aime, tu n'imagine même pas combien tu est si précieux pour moi.

Tu sait j'aime ta maman et je suis très heureux avec elle mais je m'aperçois que jamais je n'est osé te le dire, tant d'épreuve nous avons traversé et tes câlins suffisais à nous faire oublié nos soucie, je ne sait comment, mais tu as toujours sus lorsque j'avais besoin de toi tu me tendais tes petits bras et me faisait se sourire dont il est impossible de résisté.

Je me souviens de cette fois là, ou maman était malade, elle était à l'hôpital je me retrouvé seul et je me suis effondré de chagrin, je n'est pas sus me contenir ce jours là, tu était là dans ta chambre mamie t'avais couché, mais tu t'est levé et tu est venu encore une fois jusque dans mes bras.

et tu ma dit, "ne t'en fait pas mon papa, je suis là, maman va allé mieux". Tu n'avais que 6 ans et pourtant tu as compris que j'avais besoin de toi. Plutôt étrange pour un père, d'habitude c'est plutôt l'enfant qui a besoin de son papa.

Mon fils, Mattéo, n'oublie jamais combien nous t'avons aimé, et combien nous continuerons a t'aimé...

N'oublie jamais que tu est très précieux et que maladroit comme je suis je ne sait si un jours j'aurais le courage de te dire en face ce mots là.

Signé ton papa qui t'aime...

R.céréwïn

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